Président des vins Gilliard à Sion, Christophe Darbellay n’est pas tendre avec l’Interprofession de la vigne et du vin du Valais. Pour lui, c’est une décision « pour soutenir les canards boiteux » et une mesure qui « n’aura aucun effet sur les stocks ». Et il ne croit pas davantage aux prix indicatifs publiés pour la première fois avant vendanges par les négociants. « Des prix qu’on ne va jamais tenir. »
A découvrir dans l’extrait de l’entretien de Canal9….
Monsieur Darbellay a peut-être raison. Nous allons encore perdre des parts de marché. Mais lorsqu’il ose affirmer que de toute façon, le valais n’a jamais produit plus d’un kilo au mètre, il ment effrontément, il faut bien l’avouer. Produisons ce que l’on peut vendre, améliorons notre marketing, pas seulement pour le cornalin, l’arvine et la syrah, mais surtout pour le pinot noir et le fendant de qualité!