Viticulture et agriculture souffriront aussi de la cherté du franc suisse. Et cela, même si l’exportation de nos produits reste marginale. C’est surtout la baisse du coût des produits étrangers qui inquiète, rendant nos produits moins concurrentiels.
Voir le sujet de mon collègue Yves Balmer et l’analyse du patron de la Migros valaisanne, Max Alter.
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